Chronologie |
Sun Sep 10 12:00:16 CEST 2023
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New research sheds light on origins of social behaviors |
07/09/2023 |
«New research from Cornell University biologists suggests the fruit fly's visual system, not just chemical receptors, are deeply involved with their social behaviors. The work sheds light on the possible origin of differences in human social behaviors, such as those seen in people with bipolar disorder and autism.The paper, "Visual Feedback Neurons Fine-tune Drosophila Male Courtship via GABA-mediated Inhibition," published in Current Biology on Sept.
5.»...
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sciencedaily |
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GABA-mediated inhibition in visual feedback neurons fine-tunes Drosophila male courtship - PubMed |
07/09/2023 |
«Abstract Vision is critical for the regulation of mating behaviors in many species. Here, we discovered that the Drosophila ortholog of human GABA A -receptor-associated protein (GABARAP) is required to fine-tune male courtship by modulating the activity of visual feedback neurons, lamina tangential cells (Lat). GABARAP is a ubiquitin-like protein that regulates cell-surface levels of GABA A receptors.
Knocking down GABARAP or GABA A receptors in Lat neurons or hyperactivating them induces male courtship toward other males. Inhibiting Lat neurons, on the other hand, delays copulation by impairing the ability of males to follow females.
Remarkably, the human ortholog of Drosophila GABARAP restores function in Lat neurons. Using in vivo two-photon imaging and optogenetics, we show that Lat neurons are functionally connected to neural circuits that mediate visually-guided courtship pursuits in males.
Our work reveals a novel physiological role for GABARAP in fine-tuning the activity of a visual circuit that tracks a mating partner during courtship.»...
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pubmed.ncbi.nlm.nih |
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Cardiorespiratory fitness and incident use of anxiolytics and antidepressants in adults. A linkage study between HUNT and the Norwegian Prescription Database - ScienceDirect |
07/09/2023 |
«Abstract BackgroundWe investigated the association between cardiorespiratory fitness (CRF) and incident use of antidepressants or anxiolytics in the general adult population.MethodsA non-exercise prediction model was used to estimate CRF in 32,603 participants in the third wave of the Trøndelag Health Study (HUNT3; 2006-08). Data on first purchase of antidepressants and anxiolytics were obtained from the Norwegian Prescription Database.
Cox regression was used to estimate hazard ratios (HRs).»
[...]
« Results
Each 1- metabolic equivalent of task (MET) increase in CRF was associated with 4 % reduced risk of purchasing antidepressant or anxiolytic medication during follow-up (HR 0.96, 95 % Confidence interval [CI] 0.94–0.98). Compared to the low CRF tertile, participants in intermediate (HR 0.93, 95 % CI 0.87–0.98) and high (HR 0.92, 95 % CI 0.86–0.98) CRF tertiles had reduced risk of medication purchase. Men in intermediate and high CRF tertile had lower risk of medication purchase (intermediate HR 0.87, 95 % CI 0.79–0.96; high HR 0.87, 95 % CI 0.78–0.96). Intermediate and high CRF tertiles were associated with reduced risk of medication use for younger adults (20 to <30 years old; intermediate HR 0.74, 95 % CI 0.61–0.91, high HR 0.78, 95 % CI 0.64–0.95) and middle-aged adults (30 to <65 years old; intermediate HR 0.90, 95 % CI 0.83–0.97, high HR 0.90, 95 % CI 0.84–0.98), but not in older adults (≥65 years old).
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sciencedirect |
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Physical fitness may reduce need for psychiatric medications |
07/09/2023 |
«Being fit doesn't just help your body -- it also helps your mind, a new study reports.People in better physical condition appear to have less need for drugs to treat mood disorders, Norwegian researchers have found.ADVERTISEMENT"We find that people who are in better shape fill fewer prescriptions for anxiety and depression medications," said senior author Linda Ernstsen, an associate professor of public health and nursing at the Norwegian University of Science and Technology in Trondheim.»...
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upi |
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Depister le psychotraumatisme des personnes autistes victimes de violences et violences sexuelles - Diagnostic etat de stress post-traumatique ESPT |
04/09/2023 |
«L'état de la littérature scientifique* montre de manière constante que les personnes autistes courent un risque accru de subir des violences ( Hoover, 2015 ; Rumball, 2019 ).Par rapport au groupe témoin, McDonnell et al.
(2019) ont constaté une augmentation significative des taux de violence physique chez les enfants autistes, et les adultes autistes signalent des taux de violence physique pendant l'enfance plus élevés que les témoins non autistes ( Gibbs et al., 2021 ; Weiss & Fardella, 2018 ).S'appuyant sur le rapport des soignants, Mandell et al.
(2005) ont rapporté que 18,5 % des enfants autistes avaient été victimes de violence physique. Le risque accru de victimisation semble se poursuivre à l'âge adulte ( Gibbs et al., 2022 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ;Weiss & Fardella, 2018 ), Gibbs et Pellicano (2023) rapportant que la violence était perçue comme si courante par les adultes autistes que de telles expériences étaient devenues normalisées.Les personnes autistes, en particulier les filles et les femmes autistes, courent un risque accru d'être victimes de violences sexuelles ( Bargiela et al., 2016 ; Brown-Lavoie et al., 2014 ; Christoffersen, 2022 ; Dike et al., 2022 ; Gibbs et al.
, 2021 ; Gotby et al., 2018 ; Mandell et al., 2005 ; Pecora et al., 2019 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ; Weiss et Fardella, 2018 ) Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.»
[...]
«Qu’en est-il du repérage psychotraumatique sur cette population à risque ?
Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.
Étude : Trouble de stress post-traumatique et expériences impliquant des violences ou des violences sexuelels dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle
Les expériences antérieures impliquant des violences ou des violences sexuelles étaient courantes dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle, soulignent l’importance du dépistage et de l’évaluation des traumatismes dans cette population.
Peu de participants ont reçu un diagnostic de SSPT ( Syndrome de Stress Post-Traumatique ), ce qui suggère que le SSPT reste un diagnostic sous-utilisé dans cette population. De plus, l’étude précise qu’il est peu probable que les changements émotionnels et comportementaux associés à une expérience traumatisante se reflètent dans les diagnostics de santé mentale de ces personnes.
Plusieurs mécanismes potentiels expliquent ce manque de reconnaissance possibles :
le chevauchement des manifestations comportementales du SSPT et des troubles anxieux/dépressifs,
l’incapacité à explorer la signification du traumatisme pour ces individus,
le diagnostic du SSPT nécessite des déductions plus approfondies que le diagnostic de l’anxiété/dépression chez les individus ayant des compétences de communication verbale limitées,
les professionnel-les de santé s’étant habitués au stress et à l’anxiété chez les personnes autistes, les considèrent donc comme intrinsèques à l’autisme.
Enfin, les associations identifiées entre la violence, les violences sexuelles et une mesure des comportements « difficiles » confirment davantage le lien précédemment identifié entre les symptômes de traumatisme/ESPT ( État de stress post-traumatique ) et les comportements « difficiles ».
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femmesautistesfrancophones |
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Depister le psychotraumatisme des personnes autistes victimes de violences et violences sexuelles - Diagnostic etat de stress post-traumatique ESPT |
04/09/2023 |
«L'état de la littérature scientifique* montre de manière constante que les personnes autistes courent un risque accru de subir des violences ( Hoover, 2015 ; Rumball, 2019 ).Par rapport au groupe témoin, McDonnell et al.
(2019) ont constaté une augmentation significative des taux de violence physique chez les enfants autistes, et les adultes autistes signalent des taux de violence physique pendant l'enfance plus élevés que les témoins non autistes ( Gibbs et al., 2021 ; Weiss & Fardella, 2018 ).S'appuyant sur le rapport des soignants, Mandell et al.
(2005) ont rapporté que 18,5 % des enfants autistes avaient été victimes de violence physique. Le risque accru de victimisation semble se poursuivre à l'âge adulte ( Gibbs et al., 2022 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ;Weiss & Fardella, 2018 ), Gibbs et Pellicano (2023) rapportant que la violence était perçue comme si courante par les adultes autistes que de telles expériences étaient devenues normalisées.Les personnes autistes, en particulier les filles et les femmes autistes, courent un risque accru d'être victimes de violences sexuelles ( Bargiela et al., 2016 ; Brown-Lavoie et al., 2014 ; Christoffersen, 2022 ; Dike et al., 2022 ; Gibbs et al.
, 2021 ; Gotby et al., 2018 ; Mandell et al., 2005 ; Pecora et al., 2019 ; Rumball, Brook, et al., 2021 ; Weiss et Fardella, 2018 ) Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.»
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«Qu’en est-il du repérage psychotraumatique sur cette population à risque ?
Une récente étude norvégienne met en avant la nécessité du dépistage du syndrome de stress post-traumatique.
Étude : Trouble de stress post-traumatique et expériences impliquant des violences ou des violences sexuelels dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle
Les expériences antérieures impliquant des violences ou des violences sexuelles étaient courantes dans un échantillon clinique d’adultes autistes ayant une déficience intellectuelle, soulignent l’importance du dépistage et de l’évaluation des traumatismes dans cette population.
Peu de participants ont reçu un diagnostic de SSPT ( Syndrome de Stress Post-Traumatique ), ce qui suggère que le SSPT reste un diagnostic sous-utilisé dans cette population. De plus, l’étude précise qu’il est peu probable que les changements émotionnels et comportementaux associés à une expérience traumatisante se reflètent dans les diagnostics de santé mentale de ces personnes.
Plusieurs mécanismes potentiels expliquent ce manque de reconnaissance possibles :
le chevauchement des manifestations comportementales du SSPT et des troubles anxieux/dépressifs,
l’incapacité à explorer la signification du traumatisme pour ces individus,
le diagnostic du SSPT nécessite des déductions plus approfondies que le diagnostic de l’anxiété/dépression chez les individus ayant des compétences de communication verbale limitées,
les professionnel-les de santé s’étant habitués au stress et à l’anxiété chez les personnes autistes, les considèrent donc comme intrinsèques à l’autisme.
Enfin, les associations identifiées entre la violence, les violences sexuelles et une mesure des comportements « difficiles » confirment davantage le lien précédemment identifié entre les symptômes de traumatisme/ESPT ( État de stress post-traumatique ) et les comportements « difficiles ».
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femmesautistesfrancophones |
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